Préface du roman de la Renarde:
La D&S : c’est la matrice, la précieuse pierre.
Les mots et les maux : ils s’envolent comme les oiseaux ; les corneilles lavent la lèpre de nos égos.
Le sable et les fondations : des fondations, même sur du sable, sont solides.
L’éternité : le présent paraît épuiser le passé ; en fait, tout est gravé ; rien ne s’efface.
Les mondes parallèles et invisibles : nos perceptions du réel sont déformées ; l’imagination seule nous permet d’entrevoir ces espaces interdits.
Une danse ; une chasse ; un duel : c’est la même quête, celle de la grâce et de l’onirisme.
La poésie et la conversation : ce sont des mots que l’on retourne et à qui l’on donne un vrai sens.
L’essentiel dans tout ce fatras, dans tous ces malgré tout et malgré rien : c’est que tout reste encore possible, même si personne ne le croit.
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